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Abstract With the rapid expansion of China's cities since the 1978 economic reform, more and more villages have been swallowed up by urban sprawl. The retention of collective land ownership in chengzhongcun has, on the one hand, made low‐rent housing affordable for migrants; on the other hand, however, it has exposed chengzhongcun to many social, economic and environmental problems. Based on a case study of chengzhongcun in Guangzhou, and using an analytical framework of property rights, this article has found that maintaining collective land ownership in chengzhongcun has been socially and economically costly, but a redevelopment strategy without a complementary affordable housing scheme may be problematic. In order to solve the problems of chengzhongcun , an institutional reform of collective land is required. Résumé Les villes chinoises s’étant rapidement étendues depuis la réforme économique de 1978, un grand nombre de villages a été absorbé par les tentacules urbains. La préservation d’une propriété foncière collective dans les chengzhongcun a permis que les migrants accèdent à un logement à loyer modéré, tout en exposant cet habitat à de multiples problèmes sociaux, économiques et environnementaux. S’appuyant sur l’étude de cas du chengzhongcun de Guangzhou et sur un cadre analytique de droits de propriété, cet article montre que le maintien de la propriété foncière collective dans le chengzhongcun s’est révélé coûteux sur le plan social et économique et que, par ailleurs, une stratégie de réaménagement sans un système de logement complémentaire accessible pourrait être problématique. Résoudre les problèmes du chengzhongcun appelle à une réforme institutionnelle des terrains collectifs.
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